25 février 2012

La bannière, le making of

J'avais exactement ce genre d'images en tête lorsque j'ai recommencé le dessin. Mais j'ai attendu de me sentir suffisamment à l'aise pour vraiment me lancer... Plus de deux ans, donc.

Mon intention initiale était de d'encrer la bannière à la main. Mais un autre dessin A4 récent dont j'ai salopé l'encrage m'a fait hésité et m'a lentement poussé vers ma tablette graphique et SketchBook Pro malgré mon inexpérience. Après avoir longtemps tourné autour du pot, je me suis décidé à scanner le crayonné.



J'ai notamment dû me faire violence pour ne pas peaufiner à l'infini le crayonné. La maniaquerie, c'est aussi une excuse pour ne pas s'engager. J'ai fini par accepter cette évidence: avant d'encrer je pouvais encore corriger avec SBP. Ah ces mains, toujours ces mains! SBP est difficile a prendre en main, mais une fois que le mouvement est pris, c'est... wow!


Le design est directement inspiré de Earth vs Flying Saucers, en hommage à Ray Harryhausen. Le robot est passé à la trappe parce que mon encrage était à chier mettait en évidence que je patauge encore avec les courbes et la perspective.

Sans le robot, il fallait combler le grand vide sous la soucoupe. Le titre qui devait se trouver dans le haut ou le bas (j'hésitais encore) a migré en une fois à gauche suite à un gribouillis improvisé.



11 février 2012

Je viens de finir

Panique au bout du fil: "je t'ai vu arriver de loin, Petite Miette. Tu fais autant de bruit qu'un troupeau de yacks." Comme je l'ai déjà dit, Goossens est indispensable.

Blast, Tome 1:  Il fallait vraiment beaucoup pour me réconcilier avec Manu Larcenet à qui j'en veux d'avoir massacré le Combat Ordinaire sur les pages ultimes. Cela n'avait rien d'un accident. Cela ressemblait à un coming out politique qui m'a laissé sur le bord de la route.

Blast, donc, est toujours imprégné de ce choix; ce qui m'a fait repousser son achat des dizaines de fois depuis sa sortie. Mais j'ai craqué. Je ne le regrette pas, mais je ne fais pas des bonds de joie non plus. C'est le grand écart parfait entre une histoire qui de me déplait et un graphisme vertigineux. Je ne le garderai pas... Mais je lirai la suite.

Et s'il pouvait éviter de faire payer 22€ pour un album qui me met dans une position pareille, ce serait gentil.

10 février 2012

Mes nuits avec Scarlet - le Making of

Ce dessin est le premier entièrement produit à l'ordinateur même le gribouillis de départ a été improvisé directement sur la la tablette graphique.

Je l'ai réalisé sur Sketchbook Pro, une excellente appli également disponible sur iPad. Reste à acheter l'iPad (et s'ils pouvaient enfin sortir le 3 au lieu de nous faire saliver avec des pièces détachées, ce serait bien).

J'ai beaucoup tâtonné pour trouver les bons outils et mes marques. Mais l'un dans l'autre, j'ai consacré 2 heures au dessin lui-même. A coup de 5 minutes par-ci et de 30 secondes par là.

Encourageant pour la suite, non?



8 février 2012

Mes nuits avec Scarlett



Depuis que Scarlett est seule, elle nous gratifie d'un concert toutes les nuits. Et je me répète: "ne fais rien, tu aimes ce chat. Oui, tu aimes ce chat. Oooooooh que tu aimes ce chat..."

5 février 2012

Qui veut courir avec Monsieur Tout-le-Monde?




Les informations de course de Runtastic collectées via smartphone Android
Suivant les conseils de tous les gourous de la remise en forme sur la Toile, j'ai suivi le principe "make it social".

Je me suis inscrit sur Runtastic et sur Fitocracy pour suivre et partager l'évolution de mes activités sportive, de mon poids et de mes performances. Je ne sais pas encore lequel des deux sites je vais garder comme référence unique... à voir dans le futur.

Cela dit, j'aimerais aussi - et surtout - courir avec des personnes réelles, car le soutien virtuel n'a pas du tout la même puissance que la souffrance l'effort partagé(e).

Si vous êtes à Bruxelles et si vous êtes intéressé par m'accompagner dans mes courses de remise en forme, laissez un commentaire avec un moyen de vous joindre (les commentaires sont modérés, pas de risque de diffusion de l'info).

3 février 2012

Etat des lieux

Suivant les conseils de Tim Ferris dans The 4-Hour Body: An Uncommon Guide to Rapid Fat-Loss, Incredible Sex, and Becoming Superhuman et d'une kyrielle de sites de dévelopement personnel,  je me suis enfin imposé l'épreuve de la photo "état des lieux" de mon corps nu.

J'ai demandé à celle que j'aime de me photographier de face et de profil à un moment où j'étais le moins ragoûtant: au réveil, sans tension musculaire, couvert de poils sauvages. Je me suis bien stabilisé sur mes pieds et j'ai tout laissé tomber. Ventre, épaules, menton. Flatch.

Le résultat était... terrible. Je minimise le choc en pensant qu'il y a 5 ans, c'était pire. Néanmoins, il y a du boulot.

Or donc, voici le moment que vous attendez tous:  les photos! Roulement de tambour et TADAAAAAAAAAAAA!



Horrible n'est-ce pas? On remarque immédiatement les nombreux chantiers à ouvrir:
  • la peau, si blanche et si facilement irritable
  • le double menton
  • les épaules, larges mais pas assez rembourrées (j'ai l'air d'un ballon suspendu à un cintre)
  • les bras, trop fins et sans force
  • les pectoraux, inexistants
  • les abdominaux, l'Arlésienne... mais je vous promets qu'un jours, je les verrai
  • la didine, elle est réapparue récemment et prend un peu trop ses aises
Maintenant, je suis supposé me donner un modèle. Un corps à imiter pour bien visualiser mon objectif.
Je l'ai trouvé mais, mais, mais, mais je ne le révèlerai pas ici, ou disons pas maintenant, ou pas pour rien (tarif en bisous négociable mais très élevé).
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